Le « miracle » [littéraire] nigérian

Le Nigeria était connu pour son pétrole et sa musique. Il est aussi un gisement d’écrivains. Le festival Etonnants Voyageurs les a invités à Brazzaville.

« Imaginez à présent que vous, qui êtes jeune, doué et ambitieux, vivez dans un tel cauchemar : la moitié de la planète a asséné toutes sortes de sanctions à votre pays ; vous ne pouvez pas écouter la radio sans entendre qu’on le calomnie. » Helon Habila a écrit ces lignes en postface de son premier roman, En attendant un ange (Actes Sud). Son pays ? Le Nigeria, le plus peuplé d’Afrique (162 millions d’habitants), hallucinant de contrastes. Infiniment riche de pétrole. Infiniment pauvre en droits humains et soumis à la violence, celle des djihadistes de Boko Haram, celle du quotidien des rues de Lagos, sa plus grande ville, tentaculaire. Infiniment créatif, aussi (…)

[Lire la suite de l’article de Valérie Marin La Meslée publié dans Le Point]

[Ce billet est également publié sur Africultures]

 

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