La littérature-monde défendue par les Étonnants Voyageurs, une imposture ?

Alors que le festival Étonnants Voyageurs vient de débuter à Brazzaville, l’écrivain chroniqueur a publié une longue tribune dans L’Autre Afrik…

Aimé Eyengué : « S’il est une évidence, qui ne peut être niée, c’est que le monde est fait de différences. Et, ce sont les différences qui l’enrichissent. D’autant plus, quand on les laisse s’exprimer aisément, quand on ne les bâillonne guère par plusieurs artifices possibles de l’hégémonisme de la raison du plus fort. S’il y a le monde occidental, il y a le monde méridional ; s’il y a des écrivains du nord, il y a des écrivains du sud (parce qu’un écrivain reste, avant tout, un être de chair). S’il y a le monde, il y a le pays (au sens premier du terme) ; et, il faut bien qu’il y ait un pays et un monde, pour que l’échange continue. De la même façon, un écrivain part d’un terroir ou peint des tableaux d’instants « I »d’un terroir ou des terroirs, réels ou/et imaginaires (…) »

[Lire l’article d’Aimé Eyengué publié par Afrik.com]

[Ce billet est également publié sur le portail d’Africultures]

 

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