Rendre visible l’invisible

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Ces quinze dernières années, on parle de plus en plus des littératures africaines en France. Un palier a sans doute été franchi depuis qu’Ahmadou Kourouma a remporté en 2000 le prix Renaudot pour son roman Allah n’est pas obligé. Probablement a-t-il ouvert la porte à tous ces écrivains du continent qui ont reçu des prix dans les années qui ont suivi.Plusieurs débats se sont alors développés, tandis que Tzvetan Todorov publiait La Littérature en péril . Différentes voix ont fait entendre leur souhait de rompre avec le centre, avec les étiquettes, avec les frontières géopolitiques et littéraires. On pourrait évoquer, entre autres, l’entretien « Écrivains d’Afrique en liberté », publié dans Le Monde en 2002 (4) et, quelques années plus tard, le désormais célèbre manifeste Pour une « littérature-monde » en français (…)

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