Le Prix Ivoire 2012 est lancé !

L’Association Akwaba Culture vient de lancer le Prix Ivoire 2012. Pour rappel, le Prix Ivoire pour la Littérature Africaine d’Expression Francophone, est un prix africain de littérature destiné à récompenser, chaque année, un auteur africain pour l’une de ses oeuvres. Les ouvrages en compétition doivent nécessairement être écrits en français. Ce prix a pour but de favoriser et d’encourager la création et l’expression littéraires en Afrique, de primer et de mettre en exergue les meilleures œuvres du continent.

Il est organisé par l’association Akwaba Culture basée à Abidjan, avec le concours du ministère de la Culture et de la Francophonie de la République de Côte d’Ivoire. Le Prix Ivoire est décerné annuellement, et est remis à Abidjan.

Le Prix Ivoire pour la Littérature Africaine d’Expression Francophone, édition 2012, est ouvert du 1er mars au 31 juillet 2012. Il sera décerné le 10 novembre 2012 à Abidjan.

Peuvent y participer les écrivains africains et les éditeurs installés sur le continent ou non, dont les œuvres, publiées ou traduites en français, relèvent de la littérature africaine.

Peuvent concourir tous les ouvrages (roman, poésie, théâtre, nouvelles…) publiés en langue française, entre le 1er janvier 2011 et le 31 juillet 2012.

Les participants veilleront à faire parvenir au comité d’organisation les ouvrages en six (6) exemplaires au plus tard le 31 juillet 2012, délai de rigueur, le cachet de la poste faisant foi.
L’adresse de l’envoi est la suivante : Akwaba Culture, Prix Ivoire (pour la Littérature Africaine d’Expression Francophone), 01 BP 12 803 Abidjan 01, Côte d’Ivoire.

Le prix est doté d’un montant de 2.000.000 FCFA et d’un trophée. L’Association Akwaba Culture prendra en charge les frais de transport du lauréat ainsi que son séjour à Abidjan pour la réception de son prix.

Voir le règlement du prix Ivoire 2012 (en lien).

Bulletin d’inscription au Prix Ivoire (en lien).

D’après une information publiée sur le site Web de l’Association Akwaba Culture (Côte d’Ivoire).

Ce billet est également publié sur le portail Web de la revue Africultures (en lien).

 

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